Le cinéma peut ne pas être aussi cérébral que le considèrent les expérimentaux purs et durs. Je reste attaché à cette idée : pour tout film, on peut trouver une forme d’expression pour que le spectateur qui se met dans un état de réceptivité particulier puisse se captiver. (A.Mazars, dans l'entretien avec Débordements)
Chacun contient, plus ou moins visibles, plus ou moins comme des empreintes, les lignes de force de sa vision personnelle du monde qui tend à nous « envoûter » et à nous relier à l’onirisme perdu de notre enfance, extrait de tout jugement ou arrières-pensées. (F. Devaux)
Films
ROUGES SILENCES 1978, 16mm, couleur, stéréo, 53 mins
LE JARDIN DES AGES 1982, 16mm & n/b, couleur, stéréo, 31 mins
VISAGES PERDUS 1983, 16mm, couleur, stéréo, 13 mins
ACTUS 1984, 16mm, couleur, stéréo, 23 mins
+ un livret de 48 pages de textes de Frédérique Devaux
Cinema may not be as cerebral as die-hard experimentalists consider it. I remain attached to this idea: for any film, we can find a form of expression so that the spectator who puts himself in a state of particular sensitivity can be captivated. (A.Mazars, in the interview with Débordements)
Each one contains, more or less visibly, more or less like imprints, the key elements of his personal world vision which endeavors to “spellbind” us and reconnect us with our childhood’s lost dreams, outside of any judgment or ulterior motives. (F.Devaux)
Films
RED SILENCES 1978, 16mm, color, stereo, 53 mins
THE GARDEN OF AGES 1982, 16mm & b/w, color, stereo, 31 mins
LOST FACES 1983, 16mm, color, stereo, 13 mins
ACTUS 1984, 16mm, color, stereo, 23 mins
+ 48 page booklet with texts by Frédérique Devaux