16mm/1958/color/39’/silent
"Brakhage's lyrical films treat light as a liquid rather than a solid substance, and celebrate it in all its variety.‚"
-Fred Camper
"The moving shadow of a man in the light of day reminds us of glimmers in the night. A pink ball, held in a hand, reflects a light similar to both sun and moon. The frame of a door giving out onto trees prefigures twilight opening onto the night."-Stan Brakhage, 1961
"This film marks a new rhetoric of camera movement and montage. The protagonist, like the spectator, is a voyeur, and his possible suicide is the result of his incapacity to share in a child‚' s untutored perception.‚"
-P. Adams Sitney.""This film splendidly develops the main traits of Brakhage‚' s films: no hero, visual sensuality, fluidity of movement and montage, a passion for color.‚"
-Dominique Noguez
"Moonplay, nightwriting."
-Marie Menken
" Les films lyriques de Brakhage celèbrent la lumière dans toute sa diversité, non comme une matière solide mais comme une force liquide. "
-Fred Camper
"Brakhage's lyrical films treat light as a liquid rather than a solid substance, and celebrate it in all its variety.‚"
-Fred Camper
"The moving shadow of a man in the light of day reminds us of glimmers in the night. A pink ball, held in a hand, reflects a light similar to both sun and moon. The frame of a door giving out onto trees prefigures twilight opening onto the night."-Stan Brakhage, 1961
"This film marks a new rhetoric of camera movement and montage. The protagonist, like the spectator, is a voyeur, and his possible suicide is the result of his incapacity to share in a child‚' s untutored perception.‚"
-P. Adams Sitney.""This film splendidly develops the main traits of Brakhage‚' s films: no hero, visual sensuality, fluidity of movement and montage, a passion for color.‚"
-Dominique Noguez
"Moonplay, nightwriting."
-Marie Menken
" Les films lyriques de Brakhage celèbrent la lumière dans toute sa diversité, non comme une matière solide mais comme une force liquide. "
-Fred Camper
" L’ombre mobile d’un homme dans la
lumière du jour fait penser à des lueurs dans la nuit. Une boule rose, tenue
dans la main, réfléchit une illumination pareille au soleil et à la lune.
L’encadrement d’une porte ouvrant sur des arbres préfigure le crépuscule qui
décline sur la nuit. "
-Stan Brakhage, 1961
" L’œuvre charnière de Brakhage, qui inaugure une nouvelle rhétorique de montage et de mouvement d’appareil. Le protagoniste comme les spectateurs est un voyeur, et son possible suicide est l’effet de son inaptitude à participer à l’expérience sauvage d’un enfant. "
-P. Adams Sitney
" Ce film développe splendidement les caractéristiques des films de Brakhage : absence de personnage, sensualisme visuel, fluidité des mouvements et du montage, passion pour la couleur. "
-Dominique Noguez
" Jeux de la lune, écriture nocturne. "
-Marie Menken
-Stan Brakhage, 1961
" L’œuvre charnière de Brakhage, qui inaugure une nouvelle rhétorique de montage et de mouvement d’appareil. Le protagoniste comme les spectateurs est un voyeur, et son possible suicide est l’effet de son inaptitude à participer à l’expérience sauvage d’un enfant. "
-P. Adams Sitney
" Ce film développe splendidement les caractéristiques des films de Brakhage : absence de personnage, sensualisme visuel, fluidité des mouvements et du montage, passion pour la couleur. "
-Dominique Noguez
" Jeux de la lune, écriture nocturne. "
-Marie Menken
Taped by Robert Creeley in Albuquerque
Complete Broadcast (34:00)