Hello friends!
The long-awaited first film of Jonas Mekas starring his brother Adolfas is finally HERE!
(DVD
PAL interzone) 25,00 euros
35mm • BW / NB • 75 min.
Grand prize / Grand prix (Najade d’oro), Mostra Internazionale del Cinema Libero di Porretta Terme, 1962
Four young people are trying to understand why their friend, a young
woman, committed a suicide. A film made up of disconnected scenes
weaving between past and present. The title of the film comes from a
poem by Stuart Perkoff which tells that some young people felt (around
1960) that everything is against them, so much that even the trees in
the parks and streets seemed to them like guns pointing at their very
existence.
J. M.
Guns of the Trees deals with the thoughts,
feelings, and anguished strivings of my generation, faced with the moral
perplexity of our times. Conceived as an episodic, horizontal film,
there is no apparent direct story connection between one scene and the
next. The scenes act like pieces of a larger, timed, emotional mosaic.
Where the direct word, or the direct image, fails — when we come to more
essential things — the indirectness of the poet will seize the essence
and the truth.
J. M.
It is a bitter but lyric work. It is also
revolutionary in form, being unlike, in its technique, anything you
ever saw. It is a poster declaration, a manifesto. I regard Guns of The
Trees as the most important film by far of the American “New Wave.”
Herman G. Weinberg, New York Film-Makers' Cooperative Catalogue n°6, 1975
It may be one of the most personal and revealing films of the intellectual, beat and hip fringe of society of America today.
Gene Moskowitz, Cahiers du cinéma, N°119, May 1961
Quatre jeunes essaient de comprendre pourquoi leur amie, une jeune
femme, s’est suicidée. Un film fait de scènes disjointes oscillant entre
le passé et le présent. Le titre vient d’un poème de Stuart Perkoff qui
raconte comment quelques jeunes (vers 1960) sentait que tout allait
contre eux, même les arbres dans les parcs et dans les rues leur
semblaient tels des armes braquant leur existence même.
J. M.
Guns
of the Trees exprime les pensées, les sentiments, les efforts angoissés
de ma génération, face à la perplexité morale de notre époque. Conçu
comme un film épisodique, horizontal, il n’y a aucun lien apparent entre
une scène et la suivante. Les scènes agissent comme des morceaux d’un
plus grand mosaïque émotionnel. Là où le mot direct, ou l’image directe,
échoue – quand on arrive à des choses plus essentielles – la façon
indirecte du poète en saisira l’essence et la vérité.
J. M.
C’est
une œuvre amère mais lyrique. C’est révolutionnaire par la forme, en
étant différent par la technique de tout ce que vous avez vu
jusqu’alors. C’est un poster, une déclaration, un manifeste. Je tiens
Guns of the Trees pour le film le plus important et de loin de la
“Nouvelle vague” américaine.
Herman G. Weinberg, New York Film-Makers' Cooperative Catalogue n°6, 1975
Ce
sera peut-être le plus personnel, le plus révélateur, de tous les
ouvrages récents qui décrivent cette frange intellectuelle, beat et hip
de la société américaine moderne.
Gene Moskowitz, Cahiers du cinéma, n°119, mai 1961
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