TONY
CONRAD & MARIE LOSIER
THE FLICKER & DREAMINIMALIST
(DVD Pal Interzone,
sous-titres français) 19,90 euros
Tony Conrad, The Flicker,
16mm, b & w, 1966, sound, 30 min
Marie Losier, Tony
Conrad: DreaMinimalist, 16mm, color, 2008, sound, 26 min
"The Flicker sweeps away reality, transports us into another environment and acts as a sort of instrument of perceptual experimentation. The filmmaker himself considers it as a kind of science fiction film which, instead of entering us into strange worlds – which have everything to do with this world and the development of conventional narrative structures –, proposes to transport us into a totally different dimension which is abstract and structured in a manner radically different from our environment. (…) In The Flicker, Tony Conrad uses cinematographic devices to develop relationships between impossible harmonic frequencies using an ordinary stroboscope. At the root of this film are a musical, a visual and a psychological interest."
— Victor Gresard
“Marie Losier has already made portraits of Richard Foreman, Mike and George Kuchar, Guy Maddin, and now also Genesis P-Orridge and Lady Jaye. In her very first film, she slipped completely into the role of Joan of Arc, becoming one with her. Today she develops a razor sharp overlapping of the language of those portrayed with her own, which consists of uncompromising empathy and joy in the research. Marie Losier has managed to make the history of the underground alive again for her audience. Drawing on Brion Gysin’s Dream Machine, DreaMinimalist portrays an artist that always stages the boundaries of the medium – and they appear most perceptibly in low budget dreams.”
— Stefanie Schulte Strathaus
Contains a 24-page booklet by Victor Gresard.
« The Flicker balaie la réalité et nous transporte dans un autre environnement ; c'est une sorte d'instrument d'expérimentation de la perception. Le réalisateur le considère lui-même comme un genre de film de science-fiction, mais qui, au lieu de nous faire pénétrer dans des mondes méconnus ayant en fait tout à voir avec la terre et développant des structures narratives conventionnelles, nous propose de nous transporter dans une dimension totalement différente, abstraite, et structurée de manière radicalement étrangère à notre environnement. (…) Avec The Flicker, Tony Conrad use du dispositif cinématographique pour développer des relations de fréquences harmoniques impossibles avec un stroboscope ordinaire. Il y avait, à la base de ce film, un intérêt musical, un intérêt visuel, et un intérêt psychologique.»
— Victor Gresard
« Marie Losier a déjà réalisé des portraits de Richard Foreman, Mike et George Kuchar, Guy Maddin et, aujourd’hui, Genesis P-Orridge et Lady Jaye. Dans son tout premier film, elle se glissait totalement dans le rôle de Jeanne d’Arc et fusionnait avec elle. Elle développe aujourd’hui une superposition du langage des cinéastes dont elle dresse le portrait avec son propre langage, caractérisé par une empathie sans compromis et une joie de la recherche. Marie Losier a su faire revivre l’histoire de l’underground pour ses spectateurs. S’inspirant de la Dream Machine de Brion Gysin, DreamMinimalist présente un artiste qui repousse sans cesse les frontières des mediums. Frontières qui apparaissent d’autant plus visibles dans des rêves à petit budget. »
— Stefanie Schulte Strathaus
Contient un
livret de 24 pages par Victor Gresard.